L’explosion des cas de burn-out inquiète les médecins du travail.
Un groupe de médecins du travail a lancé un appel au gouvernement afin que cette forme d’épuisement soit reconnue comme maladie professionnelle.
Les conséquences du Burn-out ont un fort impact économique. Beaucoup de ces salariés sont traités contre l’anxiété, la dépression, les troubles du sommeil.
Ils rencontrent de gros problèmes pour leur retour dans le monde professionnel ; nombreux sont ceux qui ne veulent plus réintégrer leur entreprise, avertissent ces médecins. Le risque serait particulièrement élevé chez les agriculteurs (24 %), devant les artisans, commerçants et chefs d’entreprise (20 %) et les cadres (19 %).
D’après une évaluation de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), reprise par Technologia, «l’estimation du coût social du burn-out professionnel est de 2 à 3 milliards d’euros, soit 10 à 20 % des dépenses de la branche accidents du travail et maladies professionnelles de la Sécurité sociale. (Le Figaro Economie)
L’augmentation des Burn-out inquiète la médecine du travail.
Un groupe de Touraine a lancé un appel au gouvernement, afin que cet épuisement soit reconnue comme maladie professionnelle.
Les conséquences du Burn-out a une importante raisonnance économique. Ces salariés sont traités contre l’anxiété, la dépression, les troubles du sommeil, les envies de suicide.
Ils rencontrent de gros problèmes pour leur retour dans le monde professionnel, parfois même le milieu social ; nombreux sont ceux qui ne peuvent plus réintégrer leur entreprise. Le risque semble particulièrement élevé chez les agriculteurs, les artisans, les commerçants les chefs d’entreprise, les cadres D’après une évaluation de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), reprise par Technologia, «l’estimation du coût social du stress professionnel est de 2 à 3 milliards d’euros, soit 10 à 20 % des dépenses de la branche accidents du travail et maladies professionnelles de la Sécurité sociale». (Le Figaro Economie)